Lors du 1er confinement COVID de mars à juin 2020, l’AFHAD a monté le projet de prévention et de sensibilisation au COVID 19 auprès de la population de Plaine du Nord, en réponse à la demande de l’OFAVAP (organisation de femmes).
Ce projet de 4.400€ a bénéficié d’un cofinancement de l’Agence des Micro-Projets (AMP), dans le cadre d’un appel à projet spécifique, pour un montant de 2.000€. Cette agence vient de diffuser son rapport final d’exécution de l’ensemble des actions qu’elle a financé à travers le monde. L’AFHAD fait partie des 3 projets emblématiques cités dans ce rapport, sur les 62 lauréats.
Ce projet de 4.400€ a bénéficié d’un cofinancement de l’Agence des Micro-Projets (AMP), dans le cadre d’un appel à projet spécifique, pour un montant de 2.000€. Cette agence vient de diffuser son rapport final d’exécution de l’ensemble des actions qu’elle a financé à travers le monde. L’AFHAD fait partie des 3 projets emblématiques cités dans ce rapport, sur les 62 lauréats.
Voici un extrait des commentaires de l’AMP sur ces projets:
« Par la force des partenariats nord-sud, d’un outil digital partagé entre tous et de la réactivité des équipes, il a été possible d’avoir un impact en moins de 100 jours sur plus de soixante communautés locales mobilisées.
Cette somme de projets au plus près du terrain, sans logistique internationale, est une approche originale de «micro-humanitaire » qui place les acteurs locaux au centre.
Ces microprojets ont donné travail et revenus aux couturières de masque, aux épiceries locales (céréales) et aux artisans qui ont conçu les laves mains disposés à l’entrée de marchés et des écoles. C’est donc une mobilisation en chaîne réussie qui nous inspire pour l’avenir. »
« Par la force des partenariats nord-sud, d’un outil digital partagé entre tous et de la réactivité des équipes, il a été possible d’avoir un impact en moins de 100 jours sur plus de soixante communautés locales mobilisées.
Cette somme de projets au plus près du terrain, sans logistique internationale, est une approche originale de «micro-humanitaire » qui place les acteurs locaux au centre.
Ces microprojets ont donné travail et revenus aux couturières de masque, aux épiceries locales (céréales) et aux artisans qui ont conçu les laves mains disposés à l’entrée de marchés et des écoles. C’est donc une mobilisation en chaîne réussie qui nous inspire pour l’avenir. »